Historique

Historique de l’organisme

C’est en observant les problèmes de violence vécus chez les jeunes du quartier Hochelaga-Maisonneuve que l’organisme La Marie Debout a mis sur pied, en 1986, le Groupe communication collective (GCC). En mai 1988, le GCC obtient sa charte et en novembre 1999, il change sa dénomination sociale pour GCC LA VIOLENCE ! (Groupe communautaire contre la violence).

Le GCC LA VIOLENCE! a d’abord rassemblée une équipe de professionnel afin de développer une série d’ateliers de prévention de la violence structurée et adaptée aux besoins des jeunes. L’organisme, doté d’outils pédagogiques testés et évalués, a ensuite recruté des animateurs chevronnés pour concevoir les animations théâtrales, support didactique des ateliers.

C’est donc avec un grand professionnalisme que le GCC LA VIOLENCE! intervient dans les écoles depuis 1992. Le bagage considérable accumulé au fil des ans et la compétence des intervenants qui ont participé à l’élaboration des ateliers permettent aujourd’hui à l’organisme de jouir d’une notoriété. L’organisme ayant fait ses preuves auprès de différentes commissions scolaires de Montréal, dont la Commission scolaire de Montréal (CSDM), et de la Direction de santé publique (DSP) Montréal-Centre.

Outre les établissements scolaires, plusieurs instances telles que des CLSC, des services de police, des maisons de jeunes ainsi que la DSP se sont procurés les ateliers afin de faciliter la tâche aux professeurs et aux intervenants désirant promouvoir les comportements pacifiques tout en permettant aux jeunes de développer de nouvelles compétences personnelles et sociales.

Le GCC LA VIOLENCE! est non seulement présent en milieu scolaire, mais l’est aussi en milieu HLM. En effet, depuis 1994, l’organisme gère un centre d’intervention psychosociale, l’Apparte, situé au cœur des HLM Hochelaga. D’abord établi pour lutter contre l’oisiveté et le désœuvrement des jeunes, les intervenants du projet l’Apparte viennent maintenant en aide aux enfants, aux jeunes et aux familles qui en ont besoin. Des interventions de qualité y sont dispensées « in situ » suivant une approche ethnologique.